Le secteur aéronautique résiste aux turbulences et dope l'industrie française

photo François Robardet, ex-Représentant des salariés, Air France-KLM I Lettre de François Robardet


 

L'aérien en France, en Europe, dans le Monde

N°1028, 11 août 2025
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La lettre hebdomadaire

Sommaire :

Le secteur aéronautique résiste aux turbulences et dope l'industrie française
Un compromis trouvé entre KLM et les pilotes
Turkish Airlines, seule en lice pour la reprise de l'espagnole Air Europa
Émissions de CO2 : les compagnies aériennes réclament une réévaluation des objectifs de décarbonation fixés par l’UE
Air France-KLM : Barclays relève son conseil, objectif presque doublé

 


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Le secteur aéronautique résiste aux turbulences et dope l'industrie française

(source Les Échos) 9 août 2025

Mon commentaire : L'aéronautique française se porte bien. Cette tendance devrait se poursuivre, le secteur étant exonéré des hausse de taxes trumpiennes.


Lire l'article :

L'aéronautique, et notamment Airbus et Safran, continue de tirer la croissance de la production industrielle française. L'instauration par Washington de 10 % de droits de douane sur les exportations européennes en avril dernier, supprimés depuis, n'a apparemment eu aucun impact significatif.
 
Safran reste le champion tricolore du secteur, du point de vue des performances financières, avec un chiffre d'affaires, tiré par les ventes de moteurs d'avions et de pièces détachées, en hausse de 13,2 %, à 14,7969 milliards d'euros et un résultat opérationnel qui bondit de 27,2 %, à 2,51 milliards. Soit 17 % de marge.
 
En revanche, Airbus reste pénalisé par les retards de livraison de ses principaux fournisseurs d'équipements aéronautiques, au premier rang desquels Safran pour les moteurs d'avions CFM. L'avionneur n'a pu livrer que 306 avions au premier semestre, contre 323 sur la même période de l'an dernier, et son chiffre d'affaires semestriel a reculé de 2 % à 20,8 milliards d'euros, freinant ainsi celle du groupe (29,6 milliards d'euros). L'excédent brut d'exploitation de la branche avion est également en baisse de 38 %, à 1,231 milliard d'euros, du fait des surcoûts liés à ces retards de livraison. La consommation de trésorerie du groupe a triplé, à 1,6 milliard d'euros.
 
Cependant, le net redressement de la branche défense & spatial a permis de compenser ce recul. Le résultat net du groupe a presque doublé au premier semestre, à 1,525 milliard d'euros. Par ailleurs, Airbus a maintenu ses prévisions de livraison pour 2025 (820 appareils contre 766 en 2024), espérant recevoir avant la fin de l'année, les moteurs manquant à une soixante d'avions déjà assemblés.
 
À l'autre bout de la chaîne aéronautique, Air France-KLM et les compagnies aériennes dans leur ensemble, continue de bénéficier d'une forte demande de transport aérien, assortie d'un pétrole bon marché. Ces vents porteurs sont renforcés dans le cas d'Air France, par la montée en gamme d'une partie de la clientèle loisir, qui a troqué la classe éco pour la « premium » ou la « business » et par un effet de comparaison flatteur avec les résultats décevants de l'été 2024, impactés par les Jeux de Paris.
 
Cela a permis au groupe Air France-KLM de présenter (...) une marge, rarement atteinte chez Air France-KLM, de 8,7 %.

 


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Air France-KLM : un compromis trouvé entre KLM et les pilotes

(source Zonebourse) 6 août 2025

Mon commentaire : Chez KLM, les négociations annuelles sur les salaires se révèlent tendues cette année.

Face à une situation financière fragile, la direction a annoncé un gel des rémunérations et souhaite accroître le nombre de vols afin de redresser les comptes.

Dans ce contexte, le syndicat de pilotes VNV a conclu un accord, résumé dans l’article. Un dispositif similaire avait déjà été appliqué par le passé, contraignant les pilotes à travailler un jour de plus. « À l’époque, cette mesure était permanente et, au fil des années, elle est devenue lourde à supporter. Cette fois, nous avons convenu que l’effort resterait temporaire », précise un dirigeant de KLM.

Pour pallier la pénurie de pilotes, d’autres dispositions sont prévues : les formations obligatoires sur simulateur et les examens pourront se tenir le week-end.

Des tensions demeurent toutefois, notamment avec le personnel au sol. Le syndicat FNV, qui avait déposé un préavis de grève, a suspendu en juillet ses actions jusqu’après les vacances d’été.


Lire l'article :

KLM, filiale du groupe Air France-KLM, a annoncé mercredi être parvenue à un accord avec le syndicat néerlandais de pilotes VNV, qui va se traduire par un accroissement de leur charge de travail mais aussi par une augmentation des avantages dont ils bénéficient.
 
Dans le cadre de cet arrangement, les pilotes de KLM accepteront de travailler un jour supplémentaire par mois durant la saison estivale de 2026. En parallèle, la compagnie aérienne pourra également programmer un jour de travail en plus par trimestre durant leurs week-ends.
 
La compagnie aérienne indique s'attendre à ce que ces changements fassent décoller l’activité : plus de 10.000 vols supplémentaires sont ainsi envisagés grâce à ce compromis, ce qui devrait permettre à KLM de transporter des millions de passagers en plus.
 
De quoi donner un solide coup de pouce aux revenus de la compagnie dans les années à venir, tout en poursuivant l'objectif d'une performance opérationnelle durable et stable.
 
Cet accord intervient alors que KLM a vu son chiffre d'affaires progresser au premier semestre, sans toutefois parvenir à dégager de bénéfices en raison du niveau élevé de ses coûts.
 
En contrepartie de cet engagement, les pilotes bénéficieront d'une compensation à la hauteur. A titre d'exemple, le programme actuel leur permettant de voyager à tarif réduit une fois par an sera pérennisé.
 
Cet accord préliminaire doit encore être soumis au vote des membres du syndicat VNV en septembre.

 


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Turkish Airlines, seule en lice pour la reprise de l'espagnole Air Europa

(source Les Échos) 8 août 2025

Mon commentaire : Après IAG et Air France-KLM, c'est donc au tour de Lufthansa de jeter l'éponge.

La compagnie allemande juge elle aussi excessives les exigences de la famille Hidalgo, principale actionnaire d’Air Europa.

Pour rappel, Air Europa est confrontée à un lourd endettement, en conséquence notamment des prêts garantis par l’État espagnol qu’elle a reçus pendant la pandémie de COVID-19. 

Les dettes totales de la compagnie aérienne s’élèvent à près de 563 millions d’euros, répartis entre un prêt de 475 millions d’euros du fonds souverain espagnol SEPI (échéance novembre 2026) et un prêt de 88 millions d’euros de la banque de crédit publique ICO (échéance 2028).


Lire l'article :

Après avoir flirté avec IAG, Lufthansa et Air France-KLM, Air Europa pourrait finalement tomber dans les bras de Turkish Airlines. La compagnie turque a confirmé son intention de faire une offre pour 25 % du capital de la compagnie espagnole, bien implantée à l'aéroport de Madrid-Barajas et sur le marché latino-américain.
 
Dans un communiqué publié ce jeudi, Turkish Airlines indique poursuivre des « discussions non engageantes d'afin d'évaluer une opportunité d'investissement potentielle dans Air Europa Holding ». Cependant, le conseil d'administration de Turkish Airlines n'a pas encore validé d'offre précise et chiffrée. Ce qui laisse planer une relative incertitude sur l'issue de ses « discussions ».
 
Avant Turkish Airlines, le groupe IAG (British Airways-Iberia), qui détient encore 20 % du capital d'Air Europa, avait dû renoncer à en prendre le contrôle, du fait des conditions imposées par la Commission européenne pour préserver la concurrence sur le marché espagnol. Air France-KLM et Lufthansa avaient alors approché la compagnie espagnole.
 
Mais fin juillet, après de longues négociations avec la famille Hidalgo, propriétaire d'Air Europa, Air France-KLM avait annoncé qu'elle jetait l'éponge, faute de parvenir à un accord sur le prix. Selon la presse espagnole, Air France-KLM aurait fait une offre à 300 millions d'euros pour 51 % du capital, alors que les actionnaires d'Air Europa réclameraient un milliard d'euros. Puis la semaine dernière, c'était au tour de Lufthansa de quitter la table des négociations.
 
Même limitée à une participation minoritaire, une telle opération de croissance externe serait une grande première pour la compagnie turque. A l'exception d'une ancienne participation dans la compagnie charter Sun Express, en partenariat avec Lufthansa, Turkish s'est jusqu'à présent concentrée sur sa croissance organique, soutenue par d'énormes commandes d'avions.
 
Dans son communiqué, Turkish justifie son intérêt par « la complémentarité du réseau mondial de Turkish Airlines et de la forte présence d'Air Europa dans la péninsule ibérique et en Amérique latine », tant sur le segment des passagers que du fret, permettant une croissance accélérée et à grande échelle sur le marché latino-américain » et « une diversification opérationnelle régionale accrue ».
 
La prise de contrôle d'Air Europa lui permettrait en effet de contourner l'obstacle des droits de trafic et d'étendre ses filets à un marché - l'Amérique latine - parmi les plus dynamiques du moment, pour lequel son hub d'Istanbul n'est pas le mieux placé.

Cependant, outre les exigences des actionnaires d'Air Europa, Turkish Airlines peut s'attendre à ce que ses grands concurrents européens et la Commission européenne ne lui facilitent pas la tâche. Les dirigeants d'Air France-KLM, d'IAG et de Lufthansa ont déjà plus d'une fois demandé à Bruxelles de freiner les ambitions de Turkish Airlines en Europe, à laquelle ils reprochent de ne pas subir les mêmes contraintes réglementaires et fiscales qu'eux-mêmes.



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Émissions de CO2 : les compagnies aériennes réclament une réévaluation des objectifs de décarbonation fixés par l’UE

(source Le Monde) 5 août 2025

Mon commentaire : L’agacement monte chez les compagnies aériennes européennes, qui voient dans les contraintes de décarbonation imposées par Bruxelles une menace directe pour leur compétitivité.

À mesure que l’échéance approche, un constat s’impose : les objectifs fixés paraissent hors d’atteinte.

En cas d’échec, les transporteurs du Vieux Continent devront payer des pénalités, pendant que leurs rivaux extra-européens, non soumis aux mêmes règles, continueront à opérer sans entraves.

L’idée d’une régulation uniforme à l’échelle mondiale a toujours relevé de l’utopie.

Les mesures protectionnistes prises sous l’ère Trump ont encore fragilisé cette perspective, éloignant tout espoir d’un consensus international sur la réduction des émissions de CO2 des compagnies aériennes.


Lire l'article :

C’est en passe de s’imposer comme le tube de l’été du transport aérien. Une ritournelle entêtante dont le refrain dénonce la rareté et le coût trop élevé des carburants d’aviation dits « durables », les CAD, élaborés à partir de biomasse ou encore d’huiles usagées…
 
Cette petite musique a commencé de se faire entendre lors de l’assemblée générale de l’Association du transport aérien international (IATA), réunie début juin à New Delhi. À cette occasion, Willie Walsh, son directeur général, a voulu tirer le signal d’alarme : « Au lieu de promouvoir l’utilisation des CAD, les obligations européennes les ont rendus cinq fois plus chers que le kérosène conventionnel », s’est-il écrié.
 
Le plan européen Refuel EU, qui a commencé à entrer en vigueur au début de 2025, oblige les compagnies aériennes européennes à incorporer des CAD de manière graduelle dans les réservoirs de leurs avions jusqu’en 2050 : 2 % dès 2025, puis 6 % en 2030, 20 % en 2035 et 70 % en 2050. Encore faut-il que la production de CAD suive, soulignent les entreprises. Or, si celle-ci devrait encore doubler en 2025 pour atteindre les 2 millions de tonnes, cela ne représentera que 0,7 % de la consommation mondiale annuelle de carburant du transport aérien.
 
Pis, fait valoir une étude du lobby des compagnies européennes Airlines for Europe, la production actuelle de CAD est inférieure de 30 % aux niveaux nécessaires pour atteindre l’objectif en 2030. « J’ai du mal à voir comment nous aurons suffisamment de carburant d’aviation durable pour répondre à l’objectif à court terme », a de nouveau expliqué M. Walsh dans un entretien à un quotidien de Singapour, le 16 juillet.
 
Pour sortir de cette impasse, M. Walsh estime que « l’Union européenne, en particulier, doit réévaluer les objectifs qu’elle a définis ». Les compagnies aériennes veulent un assouplissement de leurs obligations en matière de décarbonation. Une exigence qui fait écho à celui récemment obtenu par les constructeurs automobiles pour le calcul de leurs efforts pour décarboner leurs productions. Après un intense lobbying, les amendes éventuelles ne seront plus basées sur les ventes annuelles de voitures, mais lissées sur trois ans.
 
Une brèche dans laquelle veut s’engouffrer le transport aérien. Les revendications des acteurs du secteur font bondir les défenseurs de l’environnement. Elles « ne sont pas fondées sur un constat scientifique mais sur une opportunité politique », se désole Jérôme du Boucher, responsable aviation France pour l’ONG Transport & Environnement (T&E). Ce dernier souligne leur mauvaise volonté. « Il y a des producteurs européens de CAD qui ont renoncé à développer des projets parce qu’ils ne trouvaient pas assez d’acheteurs », argue le responsable de T&E.
 
De fait, les firmes hésitent à acquérir des carburants verts. Bien trop chers à leurs yeux. « Les CAD coûtent toujours trois à quatre fois plus chers que le kérosène conventionnel », signale Benjamin Smith, directeur général d’Air France-KLM. Pour Luis Gallego, PDG du groupe IAG et nouveau président du conseil d’administration de l’Association du transport aérien international, « la seule solution est de décaler l’objectif 2030 ».
 
Pour atteindre la neutralité carbone en 2050, l’IATA estime à 4.700 milliards de dollars (4.012 milliards d’euros environ) les investissements nécessaires pour développer des filières de production et de distribution de CAD au cours des vingt-cinq prochaines années. À titre de comparaison, en 2025, toujours selon IATA, les compagnies aériennes devraient dégager collectivement un bénéfice net de 36 milliards de dollars. Et le poste carburant, évalué à 25 % des coûts fixes d’une compagnie, pourrait culminer à 36 %. Ce sont bien sûr les passagers qui, in fine, seraient mis à contribution, avec une hausse des prix des billets d’avion.

 


Revue de presse boursière


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Air France-KLM : Barclays relève son conseil, objectif presque doublé

(source Zonebourse) 4 août 2025

Mon commentaire : Après la publication de bons résultats semestriels par le groupe Air France-KLM, plusieurs analystes ont revu à la hausse leur objectifs de cours :

  • Barclays est passé de 5,4 à 10,5 euros

  • Berstein est passé de 9,0 à 12,0 euros

  • Deutsche Bank est passé de 10,0 à 12,0 euros

  • UBS est passé de 7,45 à 14,25 euros

L'action Air France-KLM a progressé de plus de 20% en une semaine. Depuis fin avril, elle a enregistré une hausse de 80%.


Lire l'article :

Barclays a annoncé lundi avoir relevé de 'sous-pondérer' à 'pondérer en ligne' sa recommandation sur le titre Air France-KLM, avec un objectif de cours presque doublé, de 5,4 à 10,5 euros.
 
L'analyste étaye son relèvement par de meilleures perspectives de revenus par passager pour 2025, soulignant qu'une hausse de seulement 1% de ses revenus permettrait d'augmenter le bénéfice opérationnel de près de 30%, un impact 'significatif' pour un groupe dont les marges restent structurellement faibles.
 
De son point de vue, la compagnie Air France profite pleinement d'une forte demande sur le marché du voyage 'premium' loisirs et bénéficie désormais de comparaisons plus favorables après l'effet exceptionnel des Jeux olympiques de 2024.
 
En revanche, KLM traverse une zone de turbulences du fait de l'envolée de 40% des redevances à l'aéroport de Schiphol, tandis que la low-cost Transavia doit affronter à la fois des conditions difficiles aux Pays-Bas et l'impact de l'instabilité géopolitique au Moyen-Orient, tempère l'intermédiaire.
 
Si Barclays dit accueillir favorablement le projet d'intégration de SAS dans le groupe, sous réserve du feu vert des autorités de concurrence, il prévient que la dette héritée des aides publiques obtenues pendant la pandémie constitue un poids pour l'action, sachant que son remboursement complet prendra encore du temps.

 


Fin de la revue de presse

> Évolution du cours de l'action Air France-KLM

L'action Air France-KLM est à 13,44 euros en clôture vendredi 8 août. Sur la semaine, elle est en très forte hausse (+20,86%). Elle était à 13,60 euros le 1er janvier 2024, à 8,23 euros le 1er juillet 2024, à 7,604 euros le 1er janvier 2025. Depuis son point le plus bas de l'année fin avril, elle a progressé de +81% !

La moyenne (le consensus) des analystes à 12 mois pour l'action AF-KLM est à 9,80 euros, en progression de +1,2 euro depuis l'annonce des résultats semestriels
(elle était à 17,50 euros début janvier 2024). L'objectif de cours le plus élevé est à 14,25 euros, le plus bas à 5,70 euros.

Je ne prends en compte que les opinions d'analystes postérieures au 1er juillet 2023.

Vous pouvez retrouver sur mon blog le détail du consensus des analystes.

Ci-dessous l'évolution du cours de bourse sur les 5 dernières années.

Cours_AF_5ans_20250602

Mon commentaire : Lire mon commentaire précédent.

> Évolution du prix du carburant cette semaine

Le baril de Jet Fuel en Europe est en légère baisse (-1$) à 89$. Il était à 94$ fin juin 2023, à 79$ avant le déclenchement de la guerre en Ukraine.

Le baril de pétrole Brent
(mer du nord) est en baisse (-4$) à 66$.

De la mi-février 2022 à fin juillet 2022, il faisait le yoyo entre 100 et 120$. Depuis, il oscillait entre 75$ et 99$.

Mon commentaire : Le pétrole est baisse notable de -10% depuis trois semaines.

> Gestion des FCPE

Lorsque vous placez de l'argent dans un des fonds FCPE d'Air France, vous obtenez des parts dans ces fonds. Vous ne détenez pas directement d'actions.

Ce sont les conseils de surveillance, que vous avez élus en juillet 2021 pour cinq ans, qui gèrent les fonds et qui prennent les décisions.

Les fonds Partners for the Future, Aeroactions, Majoractions et Concorde ne détiennent que des actions Air France.

Les fonds Horizon Épargne Actions (HEA), Horizon Épargne Mixte (HEM), Horizon Épargne Taux (HET) gèrent des portefeuilles d'actions diverses.

Mon commentaire : Si vous souhaitez obtenir des précisions sur la gestion des différents FCPE Air France, je vous invite à consulter mon site navigaction, rubrique L'actionnariat salarié Air France-KLM.


Précisions

Ces informations indicatives ne constituent en aucune manière une incitation à vendre ou une sollicitation à acheter des actions Air France-KLM.

Vous pouvez réagir à cette revue de presse ou bien me communiquer toute information ou réflexion me permettant de mieux vous informer.

Vous pouvez me poser, par retour, toute question relative au groupe Air France-KLM ou à l'actionnariat salarié.

À bientôt.

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| François Robardet

À la pointe d'une aviation européenne plus responsable, nous rapprochons les peuples pour construire le monde de demain.
(Raison d'être d'Air France-KLM)

Je représentais les salariés et anciens salariés d'Air France-KLM.
Vous pouvez me retrouver sur mon compte twitter @FrRobardet ainsi que sur LinkedIn.

Cette lettre traite de l'aérien dans le monde et de sujets liés à l'actionnariat d'Air France-KLM.
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