N°1018, 26 mai 2025
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Éditorial
La lettre hebdomadaire
Sommaire :
À Cannes, les stars embarquent sur la plage Air France KLM
et Schiphol en tête des employés néerlandais
Tap Air
Portugal : bénéfice en baisse au 1T, affecté par une grève des
pilotes Crashs des 737 Max : Trump permet à Boeing d'éviter
un grand procès, des familles de victimes s'indignent Bagage
cabine, indemnités de retard : Bruxelles fixe les nouvelles
règles du jeu pour les compagnies aériennes
Le transport
aérien cherche à réduire l’effet de serre des traînées de
condensation
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À Cannes, les stars embarquent sur la plage Air France
(source Gala) 22 mai 2025

Lire l'article :
Cette année la compagnie aérienne Air France s’est posée sur la
Croisette, en privatisant la Plage de l’hôtel Martinez. Au
programme, des concepts innovants, qui font mouche. Et toutes les
stars s’y précipitent.

Gilles Lellouche, Isabelle Huppert, ou même la star
incontestée des marches du Palais des Festivals, Eva Longoria...
Ils
sont tous venus tester la nouvelle suite La Première, rendue
publique en avril.

Après un déjeuner, une pause goûter, ou
quelques heures de tranquillité sur les transats de la plage Air
France, c’est une expérience de voyage, accessible aux clients ayant
réservé au restaurant, que souhaitait offrir le partenaire du
Festival.
S’il vous prend l’envie d’un verre, c’est la carte
embarquée pendant les vols qui vous sera proposée ! (...) Une immersion aérienne, les pieds dans le
sable.
Puisque l’excellence voulue dans la
nouvelle suite (qui s’étire sur cinq hublots, que d’espace !) se
reflète dans tous les aspects de la plage, elle
est cette année aux
couleurs La Première, en rouge et blanc, signature emblématique
d’Air France. Les yeux aguerris trouveront aussi l’hippocampe ailé
propre aux voyages La Première, disséminé dans le nouvel espace.
Et puisque nous sommes à Cannes, les
sièges (de voyage ou de cinéma) sont l’objet d’une attention
particulière. Modulables, ils se transforment désormais en lit. Dans
cette chambre au-dessus des nuages, les écrans 4K sont antireflet
pour permettre de regarder tous les programmes proposés.
Partenaire du Festival depuis 45 ans, Air France n’a évidemment pas
lésiné sur la qualité de visionnage à son bord. Pour votre prochain
embarquement, vous choisirez bien un film du cru 2025 ?
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KLM et Schiphol en tête des employés néerlandais
(source Upinthesky, traduit avec Deepl) 23 mai 2025
Lire l'article :
KLM et Schiphol figurent tous deux dans la liste des cinq
employeurs les plus attrayants des Pays-Bas de cette année. Les
enthousiastes font surtout l'éloge des opportunités de carrière.
Chaque année, l'agence de travail temporaire Randstad publie le
rapport Employer Brand Research dans lequel elle évalue les
employeurs les plus appréciés aux Pays-Bas. Randstad travaille en
collaboration avec l'agence de recherche Kantar. Kantar s'appuie sur
l'opinion de plus de 13.000 employés, étudiants et demandeurs
d'emploi âgés de 18 à 67 ans sur les 150 plus grands employeurs.
ASML occupe à nouveau la première place. Cela fait plusieurs
années que l'entreprise obtient de bons résultats dans l'enquête. Le
fabricant de machines à puces basé à Eindhoven est suivi par Efteling, KLM, Schiphol Group et Royal Haskoning, qui occupent les
cinq premières places. KLM gagne une place par rapport à l'année
dernière. Schiphol Group fait son entrée dans la liste cette année.
L'argument en faveur de KLM mentionne principalement ses bons
salaires et ses avantages sociaux favorables. C'est d'autant plus
remarquable que la compagnie aérienne s'efforce actuellement de les
limiter afin de ralentir la hausse des coûts. Chez Schiphol Group,
les opportunités de carrière sont principalement mentionnées ; le
travail semble également suffisamment intéressant. (...)
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Tap Air Portugal : bénéfice en baisse au 1T, affecté par une grève des pilotes
(source AFP) 23 mai 2025
Lire l'article :
La compagnie TAP Air Portugal, qui est en voie de
privatisation, a annoncé vendredi un bénéfice de 108,2 millions
d'euros au premier trimestre, soit une baisse de 20% sur un an. Ce,
en raison notamment d'une grève des pilotes pendant cette période.
L'année "a commencé par un trimestre difficile, marqué par la
grève des pilotes" de la compagnie aérienne Portugalia, filiale
régionale de TAP, qui a eu un impact "sur la performance financière
et opérationnelle" de l'entreprise, a expliqué le directeur général
Luis Rodrigues. Outre cette grève, qui s'est étendue sur une
période de 20 jours, TAP a également été confrontée à "une hausse de
concurrence sur (ses) principaux marchés", ainsi qu'à des
"perturbations opérationnelles, causées par des conditions
météorologiques défavorables" et des dysfonctionnements dans
l'espace aérien européen, a précisé le patron de TAP. Dans
ce contexte, le chiffre d'affaires de la compagnie aérienne a reculé
de 4,5%, à 823,4 millions d'euros. Renationalisée dans
l'urgence en 2020 afin de surmonter l'impact de l'épidémie de Covid, TAP avait bénéficié d'une injection de 3,2 milliards d'euros de
fonds publics en échange d'un plan de restructuration dont la mise
en œuvre doit se terminer cette année. Le Portugal souhaite
ensuite se désengager du capital de TAP. Cette ouverture de capital
a déjà suscité l'intérêt d'Air France-KLM, de Lufthansa et du groupe
IAG (British Airways et Iberia). (...) "TAP est préparée" pour "la nouvelle phase qui
suivra le plan de restructuration, avec l'engagement de transformer
le groupe aérien en une entreprise rentable et attrayante", a
indiqué M. Rodrigues.
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Crashs des 737 Max : Trump permet à Boeing d'éviter un grand procès, des familles de victimes s'indignent
(source Les Échos) 25 mai 2025
Lire l'article :
Boeing devrait finalement échapper à un procès dans l'affaire des
deux accidents mortels dans lesquels est impliqué son appareil 737
Max, mais l'accord annoncé vendredi soir entre l'avionneur et le
gouvernement américain a suscité l'indignation de certaines familles
de victimes. Dans le cadre de cette transaction,
Boeing va reconnaître avoir cherché à « faire obstruction et entraver » le
travail du régulateur américain de l'aviation civile (FAA), selon un
document versé vendredi au dossier.
L'entreprise va également devoir décaisser
1,1 milliard de dollars, dont 444,5 millions pour alimenter un fonds
d'indemnisation des proches de victimes, qui avait déjà été crédité
en vertu d'un premier accord conclu en 2021. Le solde consiste en
une amende de 244 millions de dollars ainsi qu'une enveloppe de 455
millions dédiés au renforcement des programmes internes de sécurité,
qualité et conformité de la société. La procédure concerne
les accidents de deux 737 Max 8, l'un de la compagnie Lion Air en
octobre 2018 et l'autre d'Ethiopian Airlines en mars 2019, qui ont
provoqué la mort de 346 personnes. Le gouvernement américain
reprochait à Boeing de ne pas avoir communiqué à la FAA des aspects
techniques du logiciel antidécrochage MCAS. Des dysfonctionnements
de ce logiciel et un manque de formation des pilotes à ce programme
sont à l'origine des deux crashs. Cet accord est primordial
pour le groupe d'Arlington (Virginie) qui, sous réserve
d'homologation par un juge fédéral du Texas, va éviter un procès,
dont l'ouverture était prévue le 23 juin. Une condamnation aurait pu
mettre en péril la capacité de Boeing de signer des contrats avec le
gouvernement fédéral, un énorme client pour ses activités
aérospatiales et de défense. (...) « Ce genre d'accord
sans précédent est une erreur », a commenté Paul Cassell, avocat de
plusieurs familles, pour qui les manquements de Boeing constituent
« le crime le plus meurtrier commis par une entreprise dans
l'histoire des États-Unis. […] Les familles que je représente vont
s'y opposer et tenter de convaincre le tribunal de le retoquer »,
a-t-il précisé. Outre le volet pénal, Boeing fait encore
l'objet de procédures au civil intentées par des proches de
personnes décédées dans les crashs. En l'état, au moins deux procès
en réparation sont prévus pour 2025, en juillet et en novembre. La
ministre de la Justice « Pam Bondi a peur d'aller au procès », a
fustigé Nadia Milleron, dont la fille est décédée dans l'accident d'Ethiopian
Airlines. « Le prochain accident sera de sa faute. »
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Bagage cabine, indemnités de retard : Bruxelles fixe les nouvelles règles du jeu pour les compagnies aériennes
(source Les Échos) 21 mai 2025
Lire l'article :
Après 20 ans de débats et une tentative de révision avortée en
2013, la réforme du règlement européen EU261 sur les droits des
passagers aériens est peut-être sur le point d'aboutir. En début de
semaine, les représentants des 27 pays de l'UE sont parvenus à un
projet de règlement révisé, qui devrait être soumis au vote des
États membres lors du prochain Conseil de l'UE, le 5 juin prochain.
Après quoi, le texte devra toutefois obtenir l'accord du parlement
européen. Ce texte de compromis tente de ménager la chèvre
et le chou. En réponse aux associations de consommateurs, il prévoit
d'instaurer des droits supplémentaires, notamment pour les passagers
handicapés, les femmes enceintes et les enfants. Mais il répond
aussi aux principales revendications des compagnies aériennes
européennes, en encadrant plus précisément et plus étroitement, le
droit à des indemnités de retard, source de nombreux litiges et de
coûts énormes pour les compagnies. « Dans sa forme actuelle,
le règlement EU261 représente un coût équivalent à 2 % du chiffre
d'affaires des compagnies aériennes européennes, souligne un
représentant des compagnies. C'est aussi devenu un business juteux
pour des agences de recouvrement en ligne, qui représentent à elles
seules 70 % des recours en justice ». En vertu de ce nouveau règlement,
qui reprend des propositions de la Commission datant de 2013,
les
passagers ne pourront prétendre à une indemnisation qu'à partir de 5
heures de retard pour des vols de 1.500 à 3.500 km, et même 9 heures
pour les vols de plus de 3.500 km, contre 3 heures actuellement
quelle que soit la distance. Ce qui, selon les associations de
consommateurs, devrait fortement réduire le nombre de passagers
indemnisables. Mais selon les compagnies, ce délai
supplémentaire devrait aussi réduire les annulations de vols. Dans
le délai actuel de 3 heures, il est en effet plus simple pour une
compagnie d'annuler le vol retardé et de rembourser ses passagers,
plutôt que de faire partir un vol retardé en versant des indemnités
dont le montant est souvent supérieur au prix du billet.
Autre nouveauté
importante : le texte comprendra, en annexe, une liste des
« circonstances exceptionnelles » exemptant les compagnies du
versement d'indemnisations. Dans le règlement de 2004, ces
« circonstances exceptionnelles » ne sont pas précisées, laissant
ainsi la porte ouverte à de nombreux litiges et à l'interprétation à
géométrie variable des tribunaux. La liste élaborée ne
serait pas exhaustive, mais elle permettrait déjà de régler certains
cas ayant déjà fait l'objet d'interprétations variables, comme celui
du pilote malade ou décédé, considéré comme une « circonstance
exceptionnelle » ou celui, plus litigieux, d'une grève surprise de
personnels de la compagnie. En revanche, le nouveau règlement renforce les
obligations des compagnies en matière d'information et de prise en
charge des passagers victimes de perturbations. Le montant de
l'indemnité forfaitaire pour les vols moyen-courriers retardés de
plus de 5 heures passerait ainsi de 250 à 300 euros. Mais
surtout, plus question de laisser les passagers en rade à
l'aéroport. Les compagnies devront informer « immédiatement » les
passagers de leurs droits, mais aussi leur fournir une assistance.
Le texte interdit aussi de garder les passagers dans l'avion, sur le
tarmac, plus de trois heures. En cas de vol annulé, l'obligation
d'indemniser les passagers s'applique pour toute annulation à moins
de 14 jours du départ, contre 7 jours actuellement. Le
nouveau règlement ouvre aussi de nouveaux droits, tels que la
possibilité de modifier sans frais un nom mal orthographié lors de
la réservation. Pour la première fois, le texte fixe aussi le droit
d'emporter gratuitement un bagage en cabine, « à condition qu'il
puisse se glisser sous le siège ». Pour la première fois aussi, le
texte fixe que les dimensions maximales d'un bagage cabine plus
volumineux (la somme de sa largueur, largeur et profondeur ne doit
pas dépasser 115 cm, 56 cm par côté et un poids de 10 kg). Mais il
n'impose pas sa gratuité, contrairement à la revendication de 14
associations de consommateurs européennes, qui ont saisi la
Commission européenne à ce sujet.
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Le transport aérien cherche à réduire l’effet de serre des traînées de condensation
(source Le Monde) 22 mai 2025

Lire l'article :
Pour la première fois, sur ce sujet, ils étaient tous là. Les
grands noms du transport aérien tricolore – dont Airbus, Thales,
Safran et Air France – ont répondu présent, jeudi 22 mai, à
l’invitation de Christine Arrighi, députée groupe écologiste et
social de Haute-Garonne. Ils sont venus participer, aux côtés de
l’organisation non gouvernementale Transport & Environnement (T&E),
au colloque intitulé « Réduire l’impact climatique des traînées de
condensation par des stratégies d’évitement ». Déjà accusé
d’être à l’origine de 3 % des émissions de gaz carbonique dans
l’atmosphère, le transport aérien est aussi dénoncé pour les traînées de condensation que nombre d’avions créent dans leur
sillage. Ces volutes blanches, qui s’étirent dans le ciel au sortir
des réacteurs, sont le résultat de la combustion du kérosène. Ces traînées – ou contrails, en anglais – sont vilipendées, à tort, par
les complotistes de toute sorte, qui les rendent responsables à la
fois de la propagation du cancer, du Covid-19, de la stérilisation
des populations ou de leur manipulation par la propagation de la 5G.
En revanche, il est scientifiquement établi, et aujourd’hui
reconnu par tous les acteurs du secteur, que la pollution de ces
« effets non-CO2 », comme le disent les spécialistes, est loin
d’être anodine. Selon les estimations, elles doubleraient la part du
transport aérien dans le réchauffement climatique.
Ces traînées se forment, sous certaines conditions
de température et d’humidité, dans la tropopause, une zone située,
selon les latitudes, entre 9 et 17 kilomètres d’altitude. Selon
Nicolas Bellouin et Olivier Boucher, deux membres de Climaviation,
un projet de recherche, financé par la direction générale de
l’aviation civile et qui cherche à « quantifier les impacts
climatiques de l’aviation », elles ont généré, « en 2018, 50 % de
l’impact total de l’aviation » sur le climat. C’est-à-dire autant
que les émissions de CO2. Toutefois, à la différence du gaz
carbonique, les traînées se dissipent « à court terme », dans les
vingt-quatre heures, tandis que « le CO2 s’accumule », précisent les
deux chercheurs. De plus, les cirrus homogenitus,
ces nuages
formés par les traînées, ont des effets opposés. Le jour, ils
réfléchissent la chaleur vers l’espace, mais, dès que le soleil se
couche, ils provoquent un effet de serre – un « forçage radiatif »,
pour reprendre le vocabulaire scientifique. En fonction des
conditions climatiques et de la densité du trafic aérien, les
conséquences des traînées de condensation sont plus fortes au-dessus
de l’Europe, des États-Unis et de l’Atlantique Nord. Selon
les mesures, « 3 % des vols (principalement des long-courriers)
sont
responsables de 80 % des traînées de condensation », a rappelé
Christine Arrighi. Pour les réduire sensiblement, les avions devront
être capables de contourner, ou de passer par-dessus ou par-dessous,
les zones où ces nuages de traînée sont le plus susceptibles d’apparaître.
Cette solution
opérationnelle exige de mettre en œuvre tout l’écosystème du
transport aérien, des constructeurs d’avion aux motoristes, en
passant par les contrôleurs du ciel, les services de la météo et les
compagnies aériennes. Il faut aussi que Bruxelles établisse un cadre réglementaire européen. Les stratégies d’évitement des
contrails ne devraient pas grever les finances des compagnies.
D’après les calculs de T&E, cela pourrait coûter seulement 1,5 euro
à chaque passager pour des vols intraeuropéens et jusqu’à 5 euros
pour des trajets long-courriers. Toutefois, la France accuse
du retard par rapport à ses voisins allemand et britannique.
L’Allemagne, qui a déjà mené des essais d’évitement des traînées, a
pris de l’avance. Il est donc urgent, pour l’écosystème tricolore,
d’examiner sérieusement le sujet. « L’excellence aéronautique
française est en jeu », a estimé Mme Arrighi.
Fin de la revue de presse
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Évolution du cours de l'action Air France-KLM
L'action Air France-KLM est à
8,488 euros en clôture vendredi 23 mai. Sur la semaine, elle est
en légère baisse (-1,12%). Elle était à 13,60 euros
le 1er janvier 2024, à 8,23 euros le 1er juillet 2024, à 7,604 euros
le 1er janvier 2025.
La moyenne (le consensus) des analystes à 12 mois pour l'action
AF-KLM est à 8,88 euros (elle était à 17,50 euros début janvier
2024). L'objectif de cours le plus élevé est à 12,50 euros, le plus
bas à 7,00 euros.
Je ne
prends en compte que les opinions d'analystes postérieures au 1er
juillet 2023.
Vous pouvez retrouver sur
mon blog le
détail du consensus des analystes.
Ci-dessous l'évolution du cours de bourse sur les 10 dernières
années.

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Évolution du prix du carburant cette semaine
Le baril de Jet Fuel en Europe est en baisse (-1$) à
84$. Il était à 94$
fin juin 2023, à 79$
avant le déclenchement de la guerre en Ukraine.
Le baril de pétrole Brent (mer du nord)
est en
baisse (-1$) à 64$.
De la mi-février
2022
à fin juillet 2022, il faisait le yoyo entre 100 et 120$. Depuis, il oscillait
entre 75$ et 99$.
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Gestion des FCPE
Lorsque vous placez de l'argent dans un des fonds FCPE d'Air
France, vous obtenez des parts dans ces fonds. Vous ne détenez pas
directement d'actions.
Ce sont les conseils de surveillance,
que vous avez élus en juillet 2021 pour cinq ans, qui gèrent les fonds
et qui prennent les décisions.
Les fonds Partners for the
Future, Aeroactions,
Majoractions et Concorde ne détiennent que des actions Air France.
Les fonds Horizon Épargne Actions (HEA), Horizon Épargne Mixte
(HEM), Horizon Épargne Taux (HET) gèrent des portefeuilles d'actions
diverses.
Précisions
Ces informations indicatives ne constituent en aucune manière une
incitation à vendre ou une sollicitation à acheter des actions Air France-KLM.
Vous pouvez réagir à cette revue de presse ou bien me communiquer toute
information ou réflexion me permettant de mieux vous informer.
Vous pouvez me poser, par retour, toute
question relative au groupe Air France-KLM ou à l'actionnariat
salarié.
À bientôt.
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Les nouveaux lecteurs pourront la recevoir en
me communiquant l'adresse
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François Robardet
À la pointe d'une aviation européenne plus responsable, nous rapprochons les peuples pour construire le monde de demain.
(Raison d'être d'Air France-KLM)
Je représentais les salariés et anciens salariés
d'Air France-KLM. Vous pouvez me retrouver sur mon
compte twitter @FrRobardet ainsi que sur LinkedIn.
Cette lettre traite de l'aérien dans le monde et de sujets
liés à l'actionnariat d'Air France-KLM. Si vous ne voulez plus
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