N°1013, 21 avril 2025
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La lettre hebdomadaire
Sommaire :
Bruxelles met en garde le cabinet contre la poursuite du
rétrécissement de Schiphol Les A320 loués par Transavia
Pays-Bas sont arrivés à l'aéroport de Rotterdam Delta Air
Lines prudente sur ses perspectives et inflexible sur le prix de
ses Airbus SAS réintroduit une classe affaires sur ses vols
européens
Droits de douane : les prix d'Airbus et Boeing
en zone de turbulences Droits de douane : Ryanair envisage de
retarder la livraison de 25 avions Boeing
Article Bonus Vers un voyage
sans enregistrement : la transformation numérique du transport
aérien
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Bruxelles met en garde le cabinet contre la poursuite du rétrécissement de Schiphol
(source Het Parool, traduit avec Deepl) 18 avril 2025
Lire l'article :
Cette semaine, le commissaire aux transports Apostolos
Tzitizikostas a une fois de plus signalé au ministre de l'Aviation
Barry Madlener (PVV) des erreurs cruciales dans les plans de
réduction de Schiphol. . Cependant, il continue à les mettre en œuvre, malgré les
critiques de Bruxelles. À partir de novembre, le nombre de
vols à Schiphol sera réduit, passant de 500.000 à 478.000. Le
cabinet vise ainsi à réduire de 15 % le nombre d'habitants de
Schiphol qui subissent des nuisances sonores importantes. Le
mois dernier, le commissaire européen Tzitizikostas a fait remarquer
au ministre, dans une lettre, que les plans de réduction du cabinet
ne tenaient pas suffisamment compte de l'arrivée de dizaines de
nouveaux avions. Sur les 61 nouveaux appareils que KLM et Transavia
recevront au cours de la période à venir, seuls 15 sont pris en
compte dans les calculs de bruit, alors qu'ils produisent deux fois
moins de bruit par appareil que les avions qu'ils utilisent
actuellement. Selon Bruxelles,
les mesures visant à réduire le bruit des avions d'affaires et des
jets privés n'ont pas non plus été prises en compte, et d'autres
interventions visant à réduire les nuisances n'ont pas été
suffisamment étudiées. Les règles européennes stipulent que toutes
les mesures d'atténuation du bruit doivent d'abord être épuisées
avant que le nombre de vols puisse être réduit. Le ministre
Madlener considère la lettre de l'Eurocommissaire comme une
confirmation qu'il peut poursuivre ses projets et qu'il n'a besoin
que d'explications supplémentaires sur les trois points critiqués.
Mais M. Tzitizikostas répète à M. Madlener que la Commission
européenne s'attend à ce que ces critiques soient prises en compte
lors de la mise en œuvre des mesures de prévention des nuisances
sonores. Cette notification intervient
à un moment crucial. Les plans de contraction, actuellement examinés
par le Conseil d'État, doivent être approuvés avant le 8 mai, faute
de quoi la date d'entrée en vigueur du 1er novembre ne sera pas
respectée. En outre, lundi dernier, une procédure en référé
a été engagée à Haarlem par le secteur de l'aviation contre l'État
et Schiphol au sujet des plans de contraction, après que M. Madlener
a ignoré un avertissement de l'organisation internationale de
l'aviation, IATA. Le commissaire européen attire également
l'attention du ministre sur les conséquences possibles du
rétrécissement pour les traités aériens européens conclus avec des
pays tels que les États-Unis et le Canada. Le verdict est attendu
pour la fin du mois. Le ministère de l'infrastructure
informe que la lettre de M. Tzitzikostas est à l'étude et insiste
pour l'instant sur l'introduction de la réduction en novembre.
(...) « Nous supposons que les commentaires du commissaire européen
au ministre, qui réaffirment les lacunes du paquet de mesures,
seront rendus publics », a déclaré un porte-parole de KLM.
"La décision de la Commission européenne sur l'avenir de Schiphol
est claire et confirme que le rétrécissement ne peut être
l'objectif. Ce qui compte, c'est la réduction du bruit".
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Les A320 loués par Transavia Pays-Bas sont arrivés à l'aéroport de Rotterdam
(source Luchtvaartnieuws, traduit avec Deepl) 16 avril 2025
Lire l'article :
Les deux Airbus A320 loués par Transavia Pays-Bas à la compagnie
lituanienne Avion Express pour opérer à partir de l'aéroport de
Rotterdam The Hague ont atterri à l'aéroport de Rotterdam mercredi
matin. Ils seront mis en service sur les premiers vols dès jeudi.
(...) À bord, les passagers
bénéficieront du service auquel Transavia Pays-Bas les a habitués.
La
compagnie aérienne à bas prix loue chaque année des avions pour
augmenter sa capacité pendant la saison estivale, qui est très
chargée. Cette fois-ci, cinq A320 sont loués à Avion Express : les
trois autres volent à partir de l'aéroport de Bruxelles. Ils portent
des autocollants Transavia Pays-Bas sur le fuselage pour les rendre
reconnaissables. (...) Sur la plupart des vols, Transavia
déploie ses propres Boeing 737-800. Elle utilise aussi
occasionnellement le nouveau A321neo.
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Delta Air Lines prudente sur ses perspectives et inflexible sur le prix de ses Airbus
(source Journal de l'Aviation) 14 avril 2025
Lire l'article :
Delta Air Lines a beau être confiante sur la solidité de son
activité, elle se montre désormais beaucoup plus prudente sur ses
perspectives pour 2025. Alors qu’elle s’attendait initialement à une
année de forte croissance, les très fortes incertitudes économiques
l’ont rapidement contrainte de revoir ses prévisions dès le mois de
mars et la compagnie a constaté que « la croissance s’est largement
arrêtée » depuis, comme l’annonce son président-directeur général Ed
Bastian. Il souligne que l’impact est plus prononcé sur le
marché intérieur et en classe économique, avec un ralentissement des
voyages des consommateurs et des entreprises. En revanche, le
secteur international semble plus résilient, ainsi que la demande
pour les classes premium, tandis que les activités de
diversification (primes et fidélisation, par exemple) jouent leur
rôle tampon. Un effondrement des réservations a toutefois été
constaté sur les vols canadiens. N’ayant pas de prise sur
les décisions et les revirements du président américain Donald Trump
au sujet des droits de douane, Delta Air Lines va donc se concentrer
sur les domaines qu’elle peut contrôler pour protéger ses marges :
ses capacités vont finalement rester stables au second semestre par
rapport au second semestre de 2024, mais avec une « diminution du
nombre de sièges en cabine principale sur les vols intérieurs ».
Dans le même temps, elle va réduire ses coûts et ses dépenses.
Cela va notamment se traduire par un ralentissement de la croissance
de la flotte, qui devrait être inférieure à 1 % cette année
(...). Cela se jouera sur l’accélération des retraits prévus
d’anciens appareils (757, 767, A319 et A320), avec au moins une
trentaine de départs (contre une vingtaine en 2024), voire un
ralentissement des livraisons.
Cela sera d’autant plus réel si des droits de douane supplémentaires
viennent faire gonfler les prix de ses Airbus. Ed Bastian a confirmé
que ses équipes travaillaient très étroitement avec Airbus, d’autant
que Delta n’attend de livraisons que de la part de l’avionneur
européen cette année. Mais il exclut toute négociation : « nous ne
paierons pas de droits de douane sur les livraisons d’avions que
nous effectuons. Les temps sont très incertains et si vous commencez
à ajouter un surcoût de 20 % à un avion, il devient très difficile
de faire fonctionner le calcul. Nous avons été clairs avec Airbus. »
Delta prévient qu’elle retardera donc la livraison de tout
appareil touché par une augmentation des droits de douane. « Nous espérons
que ce problème sera résolu par les discussions commerciales plutôt
que par des mesures que Delta ou Airbus devraient prendre »,
ajoute-t-il. (...)
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SAS réintroduit une classe affaires sur ses vols européens
(source Journal de l'Aviation) 16 avril 2025
Lire l'article :
Scandinavian Airlines (SAS) a annoncé le retour de la classe
affaires sur l’ensemble de ses vols européens à compter du 1er
octobre, y compris pour ses vols internationaux en Scandinavie. Les
réservations seront ouvertes à partir du 6 mai. Cette initiative
marque un virage stratégique pour la compagnie scandinave, qui avait
supprimé sa classe affaires européenne en 2013 au profit d’une offre
intermédiaire, SAS Plus, jugée très insuffisante par ses clients
premium. La nouvelle Business Class proposera une cabine
dédiée à l’avant de l’appareil, séparée du reste de la cabine par un
rideau et un séparateur, avec le siège central systématiquement
neutralisé pour offrir davantage d’espace et de confort. Les
passagers bénéficieront aussi d’une restauration améliorée, « plus
haut de gamme et plus flexible », servie sur une vaisselle
réutilisable. Au sol, l’offre comprendra l’enregistrement et
l’embarquement prioritaire ainsi que l’accès à davantage de salons.
(...) « Avec la réintroduction de la Business
Class européenne, nous garantissons à SAS l’expérience premium d’une
grande compagnie aérienne européenne ». Cette
évolution vise à aligner SAS sur les standards de ses nouveaux
partenaires SkyTeam, notamment Air France-KLM, et à renforcer sa
compétitivité sur le segment des voyageurs d’affaires. La compagnie
entend ainsi consolider la position de Copenhague comme hub majeur
en Europe du Nord et répondre à une demande croissante pour une
expérience premium clairement différenciée sur le réseau
intra-européen, tout en simplifiant les correspondances et en
offrant une expérience plus cohérente aux passagers voyageant avec
les différentes compagnies aériennes de l’alliance SkyTeam. (...)
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Droits de douane : les prix d'Airbus et Boeing en zone de turbulences
(source AFP) 20 avril 2025
Lire l'article :
Le prix des avions de Boeing et d’Airbus s'était déjà envolé avec
l'inflation et le Covid-19. À présent, la guerre commerciale
déclenchée par les États-Unis devrait créer de nouvelles
turbulences. Par rapport à 2018, les prix ont déjà augmenté
d'à peu près 30%, affirme à l'AFP un expert du secteur. Les
deux géants de l'aéronautique ont été confrontés à de multiples
hausses : matières premières (en particulier le titane), main
d'œuvre, composants, énergie, processus industriel (sidérurgie
notamment). Un accord social signé fin 2024 chez Boeing
prévoit une hausse salariale de 38% sur quatre ans pour ses plus de
33.000 salariés syndiqués. (...) "L'inflation dans l'aviation accélère et
cela ne va qu'empirer avec ces droits de douane (...)
catastrophiques", martèle John Persinos, rédacteur en chef de la
revue Aircraft Value News. Selon lui, les avions de nouvelle
génération, comme les 787 Dreamliner et 737 MAX de Boeing et le
321neo d'Airbus, sont particulièrement recherchés car moins
gourmands en carburant. Leurs prix ont "subi un bond marqué". Mais inutile de chercher les traditionnelles
grilles tarifaires d’autrefois : Airbus n'en publie plus depuis 2018
et Boeing depuis 2023. "Les prix catalogue étaient des
œuvres de fiction", lance M. Aboulafia. "On obtenait un rabais de
50% simplement pour être venu au rendez-vous bien habillé",
plaisante-t-il. "On a abandonné cette idée de +prix
catalogue+ il y a bien longtemps. Ils n'avaient aucun sens car
totalement décorrélés de la réalité des prix (finaux), qui sont liés
aux spécificités de chaque contrat, version, configuration...",
justifie Airbus. Pour autant, précise l'expert du secteur
ayant requis l'anonymat, les constructeurs disposent en interne d'un
prix de base, sur lequel sont ensuite appliqués des "avantages
d'achat", comme une réduction du prix parfois "relativement
importante" ou, plus fréquemment, des options ou services
supplémentaires (support, formation...). Les contrats
disposent aussi d'une clause d'ajustement annuel du prix à
l'inflation des coûts réels, jusqu'à la livraison de l'avion des
années plus tard. Les paiements se faisant largement en
dollars, Airbus est également tributaire du cours de l'euro face au
billet vert. Boeing précise à l'AFP évaluer le prix des
avions au regard des coûts de production et d'autres facteurs de
marché mais, étant un élément concurrentiel sensible, il n'en donne
pas le détail. (...) "Avant le Covid,
Boeing et Airbus se sont livrés des batailles sur les prix, qui
étaient quand même assez bas, pour ne pas dire trop bas", se
souvient Manfred Hader, du cabinet de conseils stratégiques Roland
Berger. (...) Pour avoir une idée du
prix des avions, il faut désormais compter sur la transparence de
certaines compagnies aériennes. Ainsi, le groupe japonais
ANA a passé une commande historique de 77 avions fin février auprès
de Boeing, d'Airbus et du Brésilien Embraer. Selon des
calculs de l'AFP à partir des prix catalogue fournis par ANA, un
787-9 Dreamliner atteint environ 386 millions de dollars et un 737
MAX 8 ressort aux alentours de 159 millions, contre respectivement
292 millions et 121,6 millions en 2023. Un Airbus 321neo
coûte environ 148 millions, contre 129,5 en 2018.
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Droits de douane : Ryanair envisage de retarder la livraison de 25 avions Boeing
(source Les Échos) 15 avril 2025
Lire l'article :
L'industrie aéronautique traverse une zone de turbulence avec la
guerre commerciale lancée par le président américain Donald Trump.
Face à la hausse des droits de douane, la compagnie aérienne low-cost Ryanair prévient qu'elle pourrait retarder la réception de
ses futurs avions si leur prix augmentait. (...) La compagnie
doit recevoir 25 appareils supplémentaires de Boeing à partir
d'août, mais n'en a pas besoin avant « environ mars, avril 2026 »
(...). « Nous pourrions les retarder en espérant que le bon
sens l'emportera. » Ces déclarations sont d'autant
plus fortes que la compagnie aérienne a vu en début d'année ses
perspectives de croissance à la baisse en raison des retards de
livraison qu'elle subit de la part de Boeing. (...)
Le patron de
Ryanair a ainsi soulevé la question de savoir qui, des
constructeurs, des sous-traitants ou des compagnies aériennes,
supporterait le coût de la hausse des tarifs douaniers. « Les
compagnies aériennes diront que le constructeur doit payer. Je suis
sûr que le constructeur insistera pour que la compagnie aérienne
paie », a-t-il déclaré. (...) Dans le cas d'un A320
moyen-courrier négocié aux alentours de 65 millions de dollars, les
10 % de droits de douane en vigueur depuis la semaine dernière sur
les exportations aéronautiques européennes représentent déjà un
supplément de 6,5 millions de dollars. Soit l'équivalent de la marge
moyenne d'Airbus sur ses avions.
Article Bonus
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Vers un voyage sans enregistrement : la transformation numérique du transport aérien
(source Quotidien du tourisme) 17 avril 2025
Lire l'article :
Un nouveau rapport d’Amadeus révèle une mutation majeure dans le
secteur aérien : les voyageurs n’auront bientôt plus besoin de
s’enregistrer pour leurs vols. Grâce à une technologie centrée sur
le passager et connectée, l’expérience de voyage gagne en fluidité,
en simplicité et en personnalisation Une évolution vers
la gestion de la livraison La transformation du transport
aérien progresse rapidement. Après la refonte des systèmes d’offre
et de commande, les compagnies aériennes se concentrent désormais
sur la gestion de la livraison (DMS : Delivery Management System),
une approche qui remplace les anciens systèmes de contrôle des
départs (DCS : Departure Control Systems). Cette nouvelle
génération de Delivery Management Systems (DMS) repose sur une
technologie ouverte, agile et mieux intégrée. Elle connecte
directement les systèmes des compagnies aux infrastructures
aéroportuaires, aux prestataires de services au sol et à d’autres
partenaires, tout en éliminant les technologies obsolètes et les
télétypes introduits dans les années 1940. Une
reconnaissance fluide et instantanée Avec un identifiant
unique (passeport numérique ou biométrique), les voyageurs
profiteront d’une reconnaissance immédiate tout au long de leur
trajet. Cette interconnexion permet de :
- déposer ses
bagages sans faire la queue
- franchir les contrôles de
sécurité sans présentation répétée de documents
- récupérer
une voiture de location ou s’enregistrer à l’hôtel sans effort
« Avec l'introduction des DMS, les compagnies aériennes auront une
connaissance détaillée de chaque voyageur, de l'ensemble de son
voyage et, pour la première fois, de ce qui lui a été délivré. Avec
la suppression des systèmes existants, l'information circulera plus
librement, ce qui permettra aux compagnies aériennes et à leurs
partenaires d'anticiper et d'agir en fonction des besoins de chaque
voyageur. Nous travaillons activement avec le secteur pour
construire cette nouvelle génération de DMS qui permettra de
bénéficier d’une expérience moins stressante et plus cohérente dans
les années à venir. », explique Valérie Viale, Directrice du Product
Management, AirOps chez Amadeus. Un passage vers les
terminaux du futur Dans un avenir proche, l’arrivée à
l’aéroport ne nécessitera plus d’enregistrement. Grâce à une
validation numérique préalable des documents de voyage (visa,
passeport), les passagers accèderont aux terminaux « prêts à
décoller ». Les aéroports évolueront en lieux plus
conviviaux, orientés vers le service et les loisirs. Les agents
mobiles, équipés de tablettes, accompagneront les voyageurs de
manière proactive et personnalisée. Des solutions en temps
réel pour les imprévus En cas de perturbation (retard,
annulation…), le passager recevra une notification numérique avec
une solution alternative recommandée par la compagnie. Il pourra
confirmer son choix directement via son téléphone, en tenant compte
de tout son itinéraire et des services réservés. Cette
approche permet une gestion intégrée des voyages multimodaux (avion,
train, transports terrestres), avec des propositions sur mesure, en
temps réel. La conception des nouveaux systèmes place la
protection des données personnelles au cœur du processus. Seules les
informations pertinentes seront partagées avec les prestataires, et
uniquement si le voyageur s’identifie volontairement. Le
rapport « From DCS to Delivery : fulfilling the retailing promise
with traveler-centric journeys and better operations » se traduit
par « Du DCS à la livraison : tenir la promesse des nouveaux modes
de vente avec des voyages centrés sur le voyageur et de meilleures
opérations ». Il s’appuie sur les travaux du Delivery
Management Champions Group, un collectif réunissant plus de 30
compagnies aériennes, prestataires aéroportuaires et fournisseurs de
technologie. Ensemble, ils conçoivent une infrastructure mondiale de
gestion des voyages plus fluide, plus connectée, et entièrement
centrée sur l’expérience voyageur.
Fin de la revue de presse
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Évolution du cours de l'action Air France-KLM
L'action Air France-KLM est à
7,432 euros en clôture vendredi 18 avril. Sur la semaine, elle est
stable (-0,16%).
Elle était à 13,60 euros
le 1er janvier 2024, à 8,23 euros le 1er juillet 2024, à 7,604 euros
le 1er janvier 2025.
La moyenne (le consensus) des analystes à 12 mois pour l'action
AF-KLM est en baisse à 8,88 euros (elle était à 17,50 euros début janvier
2024). L'objectif de cours le plus élevé est à 12,50 euros, le plus
bas à 7,00 euros.
Je ne
prends en compte que les opinions d'analystes postérieures au 1er
juillet 2023.
Vous pouvez retrouver sur
mon blog le
détail du consensus des analystes.
Ci-dessous l'évolution du cours de bourse sur les 10 dernières
années.

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Évolution du prix du carburant cette semaine
Le baril de Jet Fuel en Europe est en hausse (+4$) à
86$. Il était à 94$
fin juin 2023, à 79$
avant le déclenchement de la guerre en Ukraine.
Le baril de pétrole Brent (mer du nord)
est en hausse (+3$) à 68$.
De la mi-février
2022
à fin juillet 2022, il faisait le yoyo entre 100 et 120$. Depuis, il oscillait
entre 75$ et 99$.
>
Gestion des FCPE
Lorsque vous placez de l'argent dans un des fonds FCPE d'Air
France, vous obtenez des parts dans ces fonds. Vous ne détenez pas
directement d'actions.
Ce sont les conseils de surveillance,
que vous avez élus en juillet 2021 pour cinq ans, qui gèrent les fonds
et qui prennent les décisions.
Les fonds Partners for the
Future, Aeroactions,
Majoractions et Concorde ne détiennent que des actions Air France.
Les fonds Horizon Épargne Actions (HEA), Horizon Épargne Mixte
(HEM), Horizon Épargne Taux (HET) gèrent des portefeuilles d'actions
diverses.
Précisions
Ces informations indicatives ne constituent en aucune manière une
incitation à vendre ou une sollicitation à acheter des actions Air France-KLM.
Vous pouvez réagir à cette revue de presse ou bien me communiquer toute
information ou réflexion me permettant de mieux vous informer.
Vous pouvez me poser, par retour, toute
question relative au groupe Air France-KLM ou à l'actionnariat
salarié.
À bientôt.
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François Robardet
À la pointe d'une aviation européenne plus responsable, nous rapprochons les peuples pour construire le monde de demain.
(Raison d'être d'Air France-KLM)
Je représentais les salariés et anciens salariés
d'Air France-KLM. Vous pouvez me retrouver sur mon
compte twitter @FrRobardet ainsi que sur LinkedIn.
Cette lettre traite de l'aérien dans le monde et de sujets
liés à l'actionnariat d'Air France-KLM. Si vous ne voulez plus
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